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« Le terrorisme doit être avertit que nous ne pouvons pas nous laisser duper avec de faux nationalismes »

Le Chef d’Etat a avertit aux violents que pour le peuple colombien la sécurité n’est pas une option, sinon un impératif, et que l’abandon de la violence, le trafique de stupéfiants et le séquestre, ainsi que la négociation honnête et la soumission á la Loi, ne sont pas « une possibilité ni un caprice des terroristes », sinon une exigence du peuple.

Bogota, 20 juillet (SP).Une nouvelle réitération aux terroristes pour qu’ils comprennent qu’abandonner leurs pratiques est une exigence du peule Colombien, a fait le Président Alvaro Uribe Velez, ce jeudi 20 juillet, en s’exprimant «le terrorisme doit être avertit que nous ne pouvons pas nous laisser duper avec de faux nationalismes, irrecevables á notre époque de crime international ».  

C’est ainsi que le Président l’a signalé dans son discours d’installation au Congres de La République, où il a également dit que « les violents pratiquent le terrorisme et le sang en Colombie et essayent de faire de la politique á l’étranger. Ce sont des assassins et ils prétendent interférer dans les relations du pays á l’étranger ».

Le Chef d’Etat a avertit aux violents que pour le peuple colombien la sécurité n’est pas une option, sinon un impératif, et que l’abandon de la violence, le trafique de stupéfiants et le séquestre, ainsi que la négociation honnête et la soumission á la Loi, ne sont pas « une possibilité ni un caprice des terroristes », sinon une exigence du peuple.

Il a répété que servir la Colombie est une « détermination á laquelle on ne peut pas renoncer » pour la recherche du bienêtre et le progrès des nouvelles générations, et non pas « un travail de calcul politique ».

Sur l’accord avec les Etats-Unis

Pendant son discours, le Président a aussi parlé de l’Accord avec le Etats-Unis, sur lequel il signale qu’il sera administré avec Egalité Souveraine, intégrité territorial et la non intervention en Affaires internes d’autres Etats. 

Il a indiqué que cet accord se trouve dans les limites des accords bilatéraux avec ce pays et avec les conventions que les deux pays sont signataires et, a insisté que son but est la lutte contre la drogue, la délinquance organisée transnational, le terrorisme et la prolifération d’armes.

Il a dit que le développement de l’accord procéderait, pour chaque activité, avec l’autorisation du Gouvernement de la Colombie et par un consentement mutuel.

Il a ajouté que pour son accomplissement il sera permis aux Etats-Unis l’utilisation et l’accès limité aux installations militaires colombiennes. « C’est pour fortifier les bases militaires colombiennes, et non pas pour ouvrir des bases américaines »
En ce qui concerne les principes de juridiction national sur le personnel militaire et la souveraineté du territoire, il souligne qu’une étude « pour que l’immunité ne soit pas impunité », est ouverte.

Il a dit que l’accord est fait pour récupérer le droit des colombiens de vivre tranquilles, et a souligné que les Etats-Unis ont aidés avec respect le « Plan Colombia » (plan Colombie)  

« Nous ne gagnons rien avec des voix solidaires et de pitié de la communauté international pendant que le sang coule ici. La coopération doit être effective et pas symbolique », a dit le président.